FICHE DE PERSONNAGE
ELFE
Votre personnage
Prénom : Alatarielle
Nom : Thaliana
Surnom : Alatha
Age :24
Sexe : femelle
Origine : Forêt au nord du Palais des glaces
Race : Elfe
Classe :Archer
Métier : Arme(s) (pas plus de 2) ou Pouvoir : Arc à double courbure et la capacité de discuter avec ses familiers
Physique (5 lignes minimum) : Alatarielle est très grande et fine. Elle à la peau particulièrement blanche et des cheveux brun-roux qui lui retombent jusqu'au bas du dos. Elle a une longue et fine cicatrice qui serpente sur son épaule droite, souvenir d’une bataille qui décima son clan. Elle est très fine et plus grande que la plupart des femmes de son espèce. Lorsqu'elle est en mission, ses cheveux sont retenus par de multiples nattes attachées rassemblée en un chignon pour ne pas gêner ses mouvements. Elle a un visage fin mordu par deux grands yeux d'un bleu profond.
Psychologie (7 lignes minimum) : Alatha sourit énormément, elle est d’un naturel enjouer et n’hésite pas à blaguer avec les gens qu’elle apprécie. Son naturel fait qu’il est très difficile de connaitre ses sentiments lorsqu’elle à décider de les cacher. Malgré cela elle est assez timide et renfermer quand elle fait face à quelqu’un qu’elle ne connait pas ou qui lui est hostile. Elle adore les animaux et ne supporte pas d’être séparée de ses familiers. Elle réagit peu quand on la blesse et préfère se replier, mais elle ne supporte pas la cruauté envers les animaux et elle est prête à tuer pour défendre ses familiers. Alatha a grandi et vécu dans la forêt et c’est là qu’elle se sent le mieux. Elle restera très peu dans les villes et est terrifier lorsqu’elle doit traverser une rue très passante d’une grande ville. Enfin, elle adore la neige et les basses températures la dérangent peu, elle se sent par contre très vite gênée lorsque la température monte.
Histoire (15 lignes minimum) : Cette histoire commence un jour de neige dans une tribu vivant au nord du Palais des glaces, proche de la rivière et des montagnes. Il avait neigé énormément ce jour-là et c'était une des journées les plus froides de l'hiver. Les cris d’Earwen, la mère d'Alatha s'entendaient dans tout le village. L'enfant se présentait mal, le guérisseur du clan avait dû partir à la rescousse d’elfes de la tribu bloqués dans les montagnes au nord et personne ne voyait comment soulager la femme. L'enfant fini par naitre, en parfaite santé, mais orphelin de sa mère. Ce bébé commença ainsi sa vie seul, son père étant aussi retenu dans la montagne avec les chasseurs blessés. Quand son père revint plus tard, il fut tellement abattu par l’annonce de la mort de sa femme qu’il ne pût se réjouir de la naissance de sa fille.
Ainsi grandi Alatha, son père a toujours eu une grande affection pour elle mais était très peu présent, s’occupant le plus possible hors du village pour ne pas rester inactif et donc penser à sa femme morte. La jeune elfe se retrouvait souvent seule mais cela ne l’empêchait pas d’être heureuse, elle s’amusait avec les enfant du village et passait ses journée à grimper aux arbre, à courir avec les loups et à se bagarrer avec les garçons. Elle ne se rendait compte de la différence entre elle et les autres jeunes que lorsqu’au soir venu tout le monde rentrait chez soit pour retrouver ses parents et qu’elle se retrouvait seule. Elle compensa vite ce vide en se liant d’affection avec un loup blanc qu’elle trouva abandonné au pied de la montagne, sa mère gisant morte à côté de lui. Elle ramena l’animal chez elle et s’en occupa du mieux qu’elle put Quand son père rentra un mois plus tard d’une expédition particulièrement longue il ne put rien faire d’autre que d’accepter ce nouveau membre du foyer. Alatha et le louveteau nommé Suki devinrent vite inséparables. A dix ans, la fille et le loup ne se lâchaient plus d’une semelle et ce dernier obéissait à la jeune fille au doigt et à l’œil, le loup détectait quant à lui les moindres émotions des autres personne, prévenant l’elfe lorsque quelqu’un de mal intentionné s’approchait.
Alatha avait commencée à monter à cheval très tôt, son père ne pouvant pas la laisser seule lorsqu’elle était petite, il avait pris l’habitude de l’amener pendant la plupart de ses expéditions de chasse, aussi, dès qu’elle fut trop lourde pour qu’il la porte sur son dos, il acheta un poney sur le dos duquel il trimballa Alatha jusqu'à ce qu’elle soit en âge de se débrouiller seule. A douze ans quand il lui offrit un vrai cheval, son poney étant devenu trop petit et trop vieux pour pouvoir la porter, elle était déjà la meilleure cavalière du clan. Elle commença alors à multiplier les longues balades dans la forêt accompagnée seulement de sa jument baie nommée Aléa et de son loup. Elle ramena de plus en plus souvent des proies de ses expéditions, tantôt abattu d’une flèche, tantôt égorgé par son loup. Lorsque deux ans plus tard son père fut tué lors d’un combat avec des nains, elle en fut triste mais pas plus que n’importe quelle personne du village. Elle continua sa vie sans grand changement, son père avait rarement été présent pour elle, son absence total changeait peu de chose.
Un beau jour d’hiver, l’année de ses vingt printemps, elle partit avec sa jument et son loup vers la montagne pour une de ses ballades solitaires. Elle aimait particulièrement la neige et le froid la dérangeait très peu. Aussi lorsqu’elle se sentait triste, elle avait pris l’habitude de partir quelques jours dans la montagne pour contempler les levés de soleil sur la vallée enneigé et les grands arbres recouvert d’un tapis immaculé. La majesté de ce paysage la laissait toujours sans voie et elle se sentait minuscule dans cet océan de blancheur. Cela lui remettait toujours du baume au cœur et lui permettait de revenir sereine et joyeuse comme elle l’était toujours.
Elle avait chevauché toute la journée et s’arrêtait enfin alors que le soleil s’endormait lentement sur les montagnes de l’est. Elle s’assit dans la neige pour contempler le coucher du soleil lorsqu’un mouvement retenu son attention au sud, un épais nuage de fumée noire s’élevait à l’horizon souillant de sa couleur sombre la neige que le soleil teintait de rouge. Elle eut un frisson d’horreur en découvrant que la fumée provenait de l’endroit où se trouvait son village. Sans perdre une seconde, elle sauta en selle et galopa le plus vite possible vers son village. Lorsqu’elle arriva en plein milieu de la nuit, sa jument et son loup haletaient plus fort que des soufflets de forge, elle était tellement horrifiée par cette fumée épaisse qui continuait de monter vers le ciel à présent noir, qu’elle en avait oublié de les laisser se reposer en chemin. Elle mit pied à terre et ne put retenir un cri. Tout le monde était mort, le village entier avait brulé et de nombreux bâtiments fumaient encore. Tous ses amis gisaient sur le sol, certains égorgés, d’autres brulés vifs. Des traces de lutte subsistaient encore et des étrangers morts gisaient au milieu des corps de son clan. Elle s’effondra et commença à pleurer. Son loup s’approcha vivement, la voyant se mettre à terre, et elle l’enlaça, se laissant aller à son chagrin.
Au petit matin, elle se réveilla sans aucun souvenir de s’être endormie, son loup toujours à ses côté lui ayant tenu chaud pendant cette longue nuit froide et solitaire. Elle entendit un bruit venant de sa gauche et se redressa vivement encochant une flèche. Elle se détendit en voyant que son loup n’avait pas réagi, un groupe de personne sortit alors des fourrés, c’était des chasseurs qui étaient parti en expéditions en même temps qu’elle. Ils contemplèrent le massacre et lui demandèrent des explications qu’elle ne put leur fournir. Ils retrouvèrent rapidement les traces des bandits et partirent à leur poursuite pour venger les leurs. Ils les trouvèrent alors que le soleil atteignait son zénith. Tout alla très vite, pendant la bataille, Alatarielle se fit désarçonner par un coup de masse et elle perdit connaissance. Quand elle reprit ses esprits, la bataille était finie, son clan avait gagné mais les pertes étaient lourdes. De sa main, elle commença à chercher son loup qui se couchait toujours à ses côté mais ne le trouva pas. Un des chasseurs voyant qu’elle s’était réveillée s’approcha. Ce qu’elle lut dans ses yeux lui suffit. Elle se leva d’un bond malgré sa tête qui menaçait d’exploser et partit vers le champ de bataille. Elle le trouva gisant mort son pelage blanc constellé de rouge et sa jument à ses côté, une flèche planté dans le poitrail d’où coulait une rivière rouge. Son cri retentit dans toute la forêt et sembla durer une éternité, glaçant le sang de ses compagnons. Quand elle ne put plus crier, elle courut, loin, droit devant, longtemps et s’effondra lorsque ses jambes ne purent plus la portée. Lorsqu’elle se réveilla à nouveau elle marcha, elle erra dans la forêt, sans but, sans amis, sans famille, sans maison.
Le hasard voulu qu’elle atteigne sans le vouloir, après plus jours d’errance, une caravane de marchands se déplaçant de ville en ville. Ils la recueillirent et lui réapprirent à vivre, l’encadrant de leur amitié, essayant de la faire rire pour lui faire oublier son chagrin. Elle resta avec eux pendant quatre ans, quatre ans de voyage, d’amitié et de rigolade. A vingt-quatre ans, elle comprit que même si elle était très accrochée à eux, sa vie était ailleurs. C’est ainsi qu’elle arriva, le cœur encore lourd de sa séparation d’avec ses amis, à la tour des Ames, accompagné de Kuro qui gambadait joyeusement à côté d’elle.
Familier(s) : Un bouquetin noir comme l’ébène du nom de Kuroi taiyoo (surnommé Kuro)
Autres précisions : Avez-vous envoyé le code aux administrateurs ou modérateurs ? (Vous le trouverez dans le règlement (mais ça, normalement, vous le savez déjà)) voui ^^
Vous-même
(facultatif)
Votre surnom : Il est royal !
Votre âge : 10101 (bin) ans
D’où vient votre avatar ? j'ai cherché pendant des mois il y a de nombreuses années un avatar qui me plaisait et depuis il ne me quitte plus (je l'ai un peu modifié au passage).
Comment avez-vous connu ce forum ? Un certain Cono
Autre : geek et nul en orthographe (désolé...)
Sujet: Alatarielle Thaliana 
Lun 6 Fév - 22:36
